le contexte — royally ever after.

« Stay strong. Stay silent. And more than anything else : trust no one »          

Le décor et d'une somptuosité rare et unique. Les colonnes sculptées soutiennent un plafond vouté incrusté de moulures et dorures. Les vastes fenêtres percées illuminent une pièce surplombée par des lustres en cristal ou la lumière se mêle pour libérer des reflets infinis sur le sol en marbre scintillant. Une majesté qui résonne, qui assomme. Et eux, ils tournent, virevoltent dans un tourbillon parfaitement synchronisé. Dior, Cartier, Alexander McQueen, Burberry, Vivienne Westwood. Ils se pavanent dans leurs plus beaux atours, les lèvres habillées d'un sourire souvent hypocrite.
Ils sont princes, ducs, comtesses ou encore marquises. La magnificence, ils  connaissent, tels les portraits qui ornent les murs de cette salle de bal, ils ont un nom gravé à la feuille d’or, un sang bleu, précieux nectar héritage d’une noble ascendance et d’une fortune inestimable.Henry VIII, Mary Stuart, Louis XIV, Victoria. Ils n’ont rien à envier à ses rois et reines qui ont marqué l’Histoire si ce n’est la couronne qu’ils ont un jour porté. Symbole ultime de pouvoir et de reconnaissance, elle est admirée, convoitée, volée parfois. Mais, une chose demeure certaine : l'Histoire est écrite par les survivants et dans le jeu du trône, on perd ou on gagne. Il n'y a pas d'entre deux.